Hygiène intime : ce qu’on ne nous dit pas toujours (mais qu’on devrait toutes savoir)

L’hygiène intime est encore entourée de beaucoup de désinformation, de croyances tenaces et parfois… de culpabilité. Pourtant, prendre soin de sa vulve ne devrait jamais rimer avec inconfort ou produits agressifs.

SANTÉSEXUALITÉ

Anonyme

4/24/20251 min read

grayscale photo of woman doing silent hand sign
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Moins, c’est mieux

Contrairement à ce qu’on croit, la zone intime n’a pas besoin d’être “nettoyée à fond” avec des gels parfumés. Elle se nettoie naturellement, et un simple lavage à l’eau tiède ou avec un savon doux au pH adapté suffit.

Éviter les douches vaginales, c’est préserver la flore naturelle qui nous protège des infections.

Les sous-vêtements comptent aussi

Le choix des culottes, c’est pas juste une question de style. Opter pour du coton et éviter les matières synthétiques permet à la peau de respirer et limite les irritations.

Et la nuit ? Pas de sous-vêtements, si possible. Laisser respirer la vulve, c’est aussi lui faire du bien.

Écouter son corps

Odeurs, sécrétions, sensations : notre corps parle. Ce qui est “normal” chez l’une ne l’est pas forcément chez l’autre. Ce qui compte, c’est de repérer ce qui change ou semble inhabituel, et de consulter sans honte si besoin.

L’hygiène intime, ce n’est pas une routine de “propreté” pour se conformer aux injonctions, mais un geste de soin, de respect et de connaissance de soi.